Le chapitre 12 n'est pas terminer, j'avertis
Chap 11.
Je l'ai vu courir partout et maintenant, Elle prépare une autre jument . Elle me manques depuis se matin. Elle est partie et n'est pas revenu me voir. Je ne suis pas désespérer au point de l'appeler pour rien, comme hier.
Elle sort à l'extérieur avec cette jument. Si ça n'avait pas été de l'étalon, ce serait moi à sa place. Ce sâle étalon. Je ne lui pardonnerai jamais. Tout est de sa faute. Si il aurait arrêter attent, il aurait foncer dans un de ces monstres. Il serait surement décédé aujourd'hui, et Elle serait sur mon dos. Elle me dirait des mots doux. Elle me caresserait et serait fière de moi. Quand je ne serai plus dans cet état, je vais lui montrer que je suis le meilleur cheval. Les anciens ne comptent pas, ils ont donner toute leur vie à donner des cours et à se faire entraîner. Moi je n'ai que quelque saisons à mon actif.
J'espère pouvoir bientôt revoir la grosse boule de feu qui est dans le ciel le jour, et les petits points sintillants la nuit. J'espère pouvoir manger de ce met frais tout vert qui pousse sous mes sabots. J'espère pouvoir caliner la belle bientôt. J'espère que cette jument prendra soins d'Elle. J'espère que ce mal partiera vite. J'espère ne plus jamais revoir cet étalon mal élevé et surtout, surtout, j'espère pouvoir être sur pied bientôt ! La fraîcheur de la nuit en cette saison chaude me manques déjà.
Nous sommes en plein jour, il fait très chaud et Elle a oublier de me retirer la couverture de sur mon dos. Si je bouge, j'ai mal. Ce sont des petites erreurs que je lui pardonne complètement. Je l'aime tellement. Je lui souhaite tout le bonheur du monde. Quand elle est heureuse, je le suis aussi.
Parfois, quand Elle vien me voir, je la sens différente. Elle est triste, ou déçu, des fois en colère. Dans ces moments là, j'aimerais bien pouvoir la réconforter, lui dire des mots doux à mon tour.J'aimerais, dans ces moments, l'aider, être là pour Elle. Tout ce que je peux faire, c'est être là et me laisser caresser en l'écoutant, sans bouger.
Et parfois de l'eau coule de ses yeux même quand il ne vente pas ! C'est drôle quand même. Moi ils coulent quand je galope, parfois quand il y a beaucoup de lumière, mais pas quand je suis triste ou faché.
Je me demande quel température peut-il faire à l'extérieur en se moment. Toute les sorties sont bouchées, il n'y a que de la fausse lumière, venant de long tubes.Il y a beaucoup de choses que je ne peux expliquer, comme l'eau qui coule des yeux, la claireté, les étalons et d'autres encore.
Comme je ne peux expliquer pourquoi Elle prend cette jument. J'espère qu'Elle en tombera pas amoureuse, comme moi je peux l'aimer, Elle. Si c'est le cas, je ne mange plus, elle sera bien oublier de s'occuper de moi à ce moment là ! Et si Elle s'en va, je ne sais pas ce que je ferais. Peut-être que je ne mangerais pas non plus, si elle ne reviens pas, je vais mourir. Je ne peux tout simpleent pas vivre sans Elle.
Elle que je connais si peux. Elle que j'aime sans savoir pourquoi. Cette inconnue qui me réconforte, qui m'aime, enfin, je crois. Je veux qu'elle revienne bientôt. Je crois que je suis jaloux. Jaloux de cette jument. J'espère qu'elle va la rammener en bon état.
Chap. 12
Dès que je monte sur son dos, c'est la galère. Elle veut galoper et ne me laisse aucune chance. Elle commence par des coups de cul suivie par des levades.
Après quelque tours, je la fait trotter pour qu'elle commence à dépenser son énergie. Je vais mourir en randonnée sielle continue. Elle trotte, gentillement. Elle ne fait plus rien de mal et m'écoute.
Après quelque temps, je lui demande de galoper. C'est encore pire qu'au pas, elle ne se gêne pas et accélère, ne répond plus aux rêne, à la voix, au poid, ni à la jambe. Elle fait à sa tête.
Avant que j'aie Averell, c'est elle que je montais toujours. Avec elle, j'ai apprise à avoir de l'assiette, beaucoup d'assiette. En plus de ne pas être confortable, elle donne beaucoup de coups de cul, comme maintenant. Au moins, contrèrement à avant, je ne tombe plus quand elle le fait. L'expérience peut-être ?
Je fais tout ce que je peux, mais elle n'écoute pas. On se retouve finalement arrêté devant la porte de l'écurie. Sans remarquer que tout le monde me regarde, je repart au galop.Elle recommence à donner des coups de cul. Encore plus gros cette fois si. Je me tiens après la crinière de la main gauche et tire du plus fort, vers le haut, sur les rênes avec ma main droite pour lui faire relever la tête. Ça réussie. Par contre, elle arrête. Je fais tout pour la faire avancer : jambes, paroles, bassin, elle n'écoute pas. Après quelque seconde de rage intérieur, elle avance enfin, au pas, comme je le veux.
Pit se met en avant et on forme une ligne. Ferrari en premier, Tit-Gui en deuxième,moi et Sunshine en troisième, Thally en quatrième et Lucky à la fin.
Sunshine m'écoute bien. Comme elle n'a jamais vraiment appris à céder à la jambe, je ne peux pas me fier la dessus.
Je profite de son calme pour prendre quelque photos.Nous sommes en chemin vers la forêt.Je dû ranger vite mon appareil dans sa pochette, car nous allions déscendre une colline assez abrupte. Nous la descendîmes au pas. Arriver en bas, Pit décida de partir au galop. Sunshine suivi Tit-Gui de proche. Elle donna de petits coups de cul de mécontentement pour ne pas pouvoir aller plus vite, je garda l'équilibre.
Le chemin que nous avons pris est un rond, ça reviens vers la colline. Nous l'avons monter au galop aussi, en suspension, car ça brasse beaucoup. Je réussie à me coincer la brassière dans le pommeau. Après quelque secondes de panique, il se défit tout seul.
Je me mis à rire arrivé en haut, en arrêtant Sunshine. En voyant que toute les autres filles riaient aussi, je rie encore plus.
-Je me suis coincer la brassière dans le pommeau ! Pouffa Amièle, riant aux éclats.
-Moi pareil ! Lançais-je en riant de plus belle.
-C'était vraiment hot ! Dit Maude.
On se replaça en ordre et on repartit au pas. Plus loin, on dû déscendre une autre colline, qui mène à une rivière pas très creuse. J'en profita pour prendre des photos à la rivière. J'eût à peine le temps de serrer mon appareil que nous commençâmes à trotter.
Sunshine, qui voulait encore aller plus vite, essayait de dépasser Tit-Gui par les côtés. Je m'ennuie d'Averell. Lui, il écoute parfaitement, il veut me faire plaisir. Pour Sunshine, je ne suis que quelqu'un étant sur son dos qui l'empêche de faire ce qu'elle veut. Au sol, elle est un amour. Elle a déjà été un amour monté aussi, mais elle a changé. Depuis que j'ai Averell, je vie un rêve. Je ne me rappelais presque plus ce que c'était de monter un cheval ''spécial'' comme Sunshine.
De l'autre côté de la rivière, il y a un grand champs que nous contournons dans des pistes déjà faites. Il parrait qu'à l'untérieur il y a des trous, c'est pour ça qu'on ne peut pas y galoper. Pourtant, nous l'avons déjà fait, dans les herbes très hautes. La jument a sauter pour voir par dessus, moi, je voyais bien de sur son dos. J'ai eu très peur sur le coup, c'était l'un de mes premiers galops rapide. J'ai même lancé un petit cri de panique, mais j'ai survécue sans tomber. J'ai même adorer ce moment. Ça fait des bon souvenirs. Que serions nous sans les souvenirs ?
Bref, nous trottons encore. Sunshine, qui ne travaille pas beaucoup ces temps si, s'est calmé et commence à s'essouffler. Elle n'a aucun cardio la pauvre.
En avant, Ferrari eut peur de je ne sais trop quoi, fit un équart, et partit au galop. Pit essayait de l'arrêter, mais il n'écoutait pas. Les autres chevaux n'avaient rien remarquer, appart Sunshine, qui a eu peur de Ferrari. Je la sentit frémir. Elle partit au galop avec Ferrari et en plus donna de gros coups de cul . Sans même essayer de l'arrêter, je me tiens par la crinière. Mon appareil photo vole dans tout les sens, comme moi d'ailleur. En me tennant, je me penche par en avant et y met mon poid, ce qui fait que Sunshine donne de plus gros coups de cul. Je me suis toujours dit que dans ces moments, je doit mettre mon poid vers l'arrière. J'essaie avec beaucoup de mal. Ça fonctionne ! Par contre, elle galope encore !
Comme je suis déjà penché par en arrière, je prend les rênes et tire du plus fort que je le peux. Ça ne fonctionne pas. Je commence tranquillement à ressentir la panique. Je n'entend plus rien, j'ai les yeux grands ouverts. Je frappe une mouche, droit dans l'oeil. Ça me fait pleurer. Pit et Ferrari ne sont plus en avant de moi. On arrive bientôt à l'autre extrémité du champs. Je continue de tirer. Ce foutu mors à filet ne sert à rien. Il lui en faudrait un à levier ! J'ai encore la mouche dans l'oeil qui pleure à grosses gouttes. J'ai alors une idée de génis. Je tire le plus fort que je peux à ma droite. À deux mains, peu importe l'autre rêne, c'est ma dernière chance. Je panique. Je tire encore et encore.
Ça fonctionne ! Elle tourne et passe près de tomber, mais tiens et continue de tourner. Je tire encore du plus fort que je peux pour qu'elle tourne: Sunshine est dur de la bouche. D'une main, j'enlève la mouche de mon oeil. Elle est toute petite, mais dévastatrice. La panique s'est dissipée.
Les autres arrivent au grand trot, peu importe la ligne du début de la randonnée. Ils avaient tous l'aire douche-bée. J'arrêta de faire tourner Sunshine. Elle resta droite et attentive au moindre bruit qui pourrait faire peur. Ses oreilles bougent de tout les côtés. Elle est essouffler comme jamais.
-Bravo d'avoir tenu ! s'exclama Maude, qui n'a d'habitude aucune équilibre.
-Merci bien ! Répondis-je avec une grimace.
-Elle est dangeureuse cette jument ! annonça fortement Pit.
-Non, sans ce caractère, elle serait une jument comme les autres. Mais comme cela, elle est spéciale, dis- je avec le sourire.
Je dois avouer que j'ai quand même la tremblotte des jambes aux bras.
On continua la randonné au pas. Dans l'ordre du début. Je suis un peu stresser de voir Sunshine recommencer ce qu'elle vient de faire. Mais il ne faut pas que je le sois, si je le suis, c'est sur qu'elle le refait.
La première randonnée que j'ai fais avec elle, c'est ce que je me suis dit: Je dois rester calme et en profiter. Ce fût grâce à cette randonnée que je tomba amoureuse de Sunshine. Elle avait été parfaite.
Nous devons passer sur un bout de chemin plus étroit. Je sens Sunshine très incertaine.
Sujet: Re: Petite histoire 
Sam 15 Jan 2011 - 3:00
