Bou -> Merci
Pouaaah ! laissez moi le temps de l'écrire XD J'suis rendu à la moitié du chapitre 11 la :O
Chap 8.
Entendre Averell crier me fait mal au coeur ! Il le fait de plus en plus fort. Le vétérinaire doit avoir déjà donner sa piqûre à la cortisone. Il déteste ça.
Autour de moi, il y avait plein de rubans et des ''poufs''.C'est le local où les cavaliers peuvent venir se reposer,parler et casser la croûte. C'est endroit est plein l'hiver, car c'est chauffé. Mais l'été,tout le monde préfère rester dehors lors du beau temps, s'assoir sous les arbres.
Je suis aller chercher de la glace dans le congelateur, pour que ça blessure arrête d'enfler. Son épaule est rendu très gros.
'Rell hennit encore ! Aah ! J'ai peur ...
Il y eut un '' Crac! '' suivit d'un gros bruit sourd. J'arrêta de bouger un moment. Puis, un autre henissement de mon bébé. Encore plus fort et plus désespérer.
Je finit de mettre les glaçons dans la serviette en vitesse, remit le pot dans le congelateur et partie en vitesse dans les escaliers voir mon amour. Quand j'arriva, je trouva Averell couché par terre,qui hurlait comme s'il allait mourir. Les cordes étaient brisées.
Je me précipita pour le voir, donnant la serviette remplie de glaçons à Léane au passage.Elle est restré par curiosité j'imagine. Lorsqu'il me vit, je sentis en lui le réconfort. Il n' heinissait plus. J'alla m'assoir devant lui, le grattant l'encolure du plus fort que je le peux. Averell soupira de récomfort.
Je me demande ce qui a bien put se passer. Mais peut importe, le pire est passé.
Ma monitrice parle au vétérnaire. Elle lui explique que nous avons une conplicité incroyable.
Plus personne ne parlait appart eux. Les plus jeunes cavaliers étaient sortis, ils avaient peur de mon bébé.
Le vétérinaire s'approcha de moi.
-Danielle, c'est ça ? demanda t-il.
-Oui c'est moi, lui répondis-je, sans détourner mon regard d'Averell.
-Penses-tu que tu peux rester à côté de lui le temps que je le pîque ?
Rester à côté de lui ? Et si il bougeait ? Et si il se levait et se cabrait ? Peut importe. Je l'aime, je mourrerais pour lui.
-Oui bien sur que je le peux, lui répondis-je avec confiance.
Le vétérinaire s'avança vers le genou d'Averell, le toucha doucement. Mon bébé ne bougea pas. Il avança la seringue vers lui, et la planta dans son genou.
Moi, je parlait doucement à l'oreil de mon cheval. Je lui disait des mots doux qui réconfortent, même s'il ne doit pas me comprendre, il ne bouge pas et ne bougea pas tout le temps où l'aiguille était planter dans son genou.
À l'arrière de moi, je sentais que tout le monde retennait son souffle.
Lorsque le vétérinaire eut enfin fini de cette piqûre qui, j'en ai l'impression, a durer de longue minutes, ce fûts des calins à volonté et Amièle m'apporta ma serviette et de la moulé pour Averell ! Je le sentais heureux et moi j'étais fier de lui.
Il a une confiance incroyable en moi. Je crois qu'il sait que tout ce que je fais pour lui, c'est pour son bien.Que je n'oserais jamais lui faire du mal. Il va toujours me surprendre !
Je réussis à faire relever Averell et je le dirigea dans son box, où il se recoucha immédiatement du côté de ses bonne jambes, celle blessé étendue. Je donna les deux cordes, encore accrochées à son licol, à ma monitrice, et me coucha sur le ventre de mon bébé.
Tout le monde se disperça. Ma mère parla au vétérinaire, qui lui donna la facture.
Amièle et Maude sortirent de l'écurie avec Pit, Léa, la fille et le garçon dont je ne connais pas les noms.
Quant à Justin, il vint s'assoir dans le box, accoter sur le mur. Il nous regardait sans rien dire. Il avait l'aire de chercher quoi dire, les bons mots.
-Écoute Danielle, commença t-il lentement, c'est de ma faute ce qui est arrivé à Averell, je vais payer le vétérinaire.
Il est trop généreux !
- Je ne peux pas accepter ça, Justin ... c'est mon cheval.
- Alors je peux l'acheter et t'en trouver un autre en bonne santé. De toute façon, après ce que Speedy m'a fait, il est sur que je vais ...
QUOI ?!
-Tu veux vraiment acheter mon cheval ? Je suis désolé, mais il n'est pas à vendre.
Il ne pouvait pas être si gentil.
- Oui je le sais qu'il est à toi, mais je t'en achèterais un en santé.
Il ne pouvait pas être si généreux.
-Averell va retrouver la santé très vite !
Il ne pouvait pas être si merveilleux.
-Son os est touché Danielle, tu ne pourras peut-être plus jamais le monter. Beaucoup feraient tuer leur cheval à cette étape. Et le coût de tout ça est très élevé. Ma famille a de l'argent, j'ai de l'argent, beaucoup d'argent. Nous pouvons lui payer tout ce qu'il lui faut.
Je ne peux pas le laisser parler comme cela ! Averell est à moi, je ferai tout pour payer ses traitements. Je dois être forte et lui dire de
la fermer !
- Pendant que tu pourra monter un autre cheval, parfait, gagné des tonnes de concours, faire des ...
-Justin ! S'il te plait. Je crois que tu n'as pas compris que ce cheval, je l'aime de tout mon coeur. Ce n'est pas une petite blessure comme celle là qui nous fera nous séparer ! Et tu peux penser ce que tu veux, mais ce cheval galopera encore ! Je ne sais pas quand, mais tu le sauras !
-C'est très touchant tout cela, mais sort ta tête des nuages, ici c'est la vrai vie.
Je me coucha la tête sur Averell.
Je n'en crois pas mes oreilles ! Il était pourtant si génial ce garçon ! Comment est-ce possible de penser que je vais vouloir me débarasser de mon ange parce qu'il est blessé ? Je ne suis pas sans coeur ! C'est lui l'idiot dans tout ça !
-Et Speedy lui ? Qu'est-ce qu'il devient ?
-Je vais l'envoyer à la viande, bien sûr.
Je me releva, re -QUOI ?!
-Donc tu crois que si je te donne Averell... commençais-je.
- Te vend ...
-Oui, alors te vend Averell, tu vas envoyer Speedy à l'abattoir ? Tu n'aide pas ta cause là.
-Que tu me le vende ou pas, Speedy deviendra du steak.
Quel sans coeur !
Je me releva d'un coup, faisant sursauter Averell.
-Tu ne peux pas faire ça !
Il y eut un moment de silence où il me regarda dans les yeux. Ces si beaux yeux.
Il a toujours tout eut dans la vie. Averell est surement la seul chose qu'il n'aura jamais.
-Je te laisse penser à ça, fini t-il par dire. Il se leva et sortie du box. Averell, se doutant de rien, le suivait du regard, gentillement.
Je me replaça, je passa beaucoup de temps avec Averell. Il ne bougea pas. Tout ce qu'il a fait, c'est manger du foin, qui est à sa porté. Je me sens tellement bien avec lui que, acotté sur son ventre chaud et doux, je m'endormis.
Je suis sur son dos, le dos d'Averell! Nous allons vite, très vite ! Il galope, d'un galop incroyable.Encore plus vite que cet l'après-midi. Il fonce comme jamais ! J'entend à peine le bruit de ses sabot frapper le sol d'un champ qui m'est inconnue. C'est un endroit très vaste où nous sommes seul tout les deux.Un champ est de luzerne.Dans ce galop, nous ne faisons qu'un. Je le sens, je sens son coeur battre, je sens ses naseaux soufflé.
Tranquillement apparaît devant moi Justin. J'arrête Averell et je dessend de son dos.Je m'avance pour mieux voir Justin. Autour de moi, tout change. Je suis dans une usine.Une grosse usine sale,ayant peu de lumière. Averell a disparu. Justin est avec Speedy. Il ne me voit pas, je me suis caché derrière des boîtes de carton. Il a une seringue dans la main. Je vois d'avance ce qui va se passer. Je le sais. Il ne peut pas.
Je m'élance et saute sur Justin. Dès qu'il me voit, il met la seringue dans ma dirrection. Je suis déjà dans mon élan, impossible de m'arrêter. Je m'approche à grande vitesse. Je ne contrôle plus mon corps. Justin sourit.
-Danielle ! Il est temps de partir.
J'ouvre les yeux tout doucement. Il y a ma mère à côté de moi. Je suis couché sur le coussin doux qu'est le ventre d'Averell. Mon ange. Il dort lui aussi. Encore couché par terre.
Ce devait être un rêve. Mais je ne peux pas laisser Justin faire une tel chose à Speedy. Il a seulement besoin d'entrainement et d'amour. Le pauvre. Je dois faire quelque chose !
-Danielle ? Allez, on doit partir,dit ma mère.
Tout doucement je me leva, en essayant de ne pas réveiller mon amour. J'enleva un peu de rippe de mon pantalon. Je réussie à sortir du box,suivie par ma mère. Les chevaux des quatres que nous avons rencontré n'étaient plus là. La serviette de glace dégoutait sur un banc. Thally et Tit-Gui étaient encore dans leur box. Il doit être tard. Sans aucune douceur, elle ferma la porte de box.
Après ces efforts pour ne pas le réveiller, Averell ouvrit les yeux. Voyant que je n'étais plus là, il commença à hennir et a bouger,il a peur.
Chap 9.
Je l'appela. J'ai peur. Je ne veux pas qu'elle me quitte. Ça serait trop dur de passer la nuit sans elle. On était si bien.
Elle parle avec deux autres de sa race.Ils me regardent souvent.Peut-Être parlent-ils de moi ? Et si Elle voulait rester elle aussi ? Ce serait parfait. Je n'aurais plus de craintes. Aucune. Avec Elle, je me sentierai toujours bien. J'ai éperdument confiance en elle. Si on roncontrait un loup, je la défenderait. Si on rencontrait un ours, je galoperait le plus vite que mon corps en est capable. Je préfèrerait mourir que elle me quitte. Je l'aime plus que tout. Plus que la belle, plus que toute la moulée du monde,je l'aime.
Je la surveille. Je mon point de vu, je vois seulement les visages. Si Elle pouvait m'entendre,me comprendre,elle verrait que je ne veux pas qu'elle me quitte. Toujours et encore la langue qu'il faut blâmer.
Elle me regarda avec une de ces fameuses grimaces dans son visage, puis partie. Non, je ne veux pas. Pas encore ! La dernière fois,je me suis fait très mal ! Et si Elle ne revenait pas ? Les trois autres sont encore là. Pourquoi eux ne partent pas et qu' Elle reste ? Pourquoi c'est tout le temps Elle ? Le temps est long sans Elle. J'ai peur, encore. Je dois partir. Ou être plus imposant pour faire partir les trois autres. Il faut que j'essaie de me relever.
Dans un effort imcroyable, sans mettre acun poid sur ma jambe blessé, je me relève, tranquillement, lançant des petits cris pour qu'Elle revienne enfin. Qu'Elle ne me quitte plus jamais.
Deux des trois de sa race qui étaient à l'extérieur vinrent en hâte dans la cage, pour me pouser et me faire retomber. Je lança un dernier cri d'espoir. Plus fort, plus ferme. Ils ont réussi. Je suis couché. Je veux qu'Elle revienne. Elle ne peut pas me laisser seul comme cela.
Justement, Elle arriva vite. Mon dernier appel a donc été concluant. Elle entra dans la cage et vint me gratter le cou et me parler doucement. J'aimerais tellement comprendre ce qu'Elle peut me dire.
Elle donna la corde que j'avais sur le visage à un des deux qui était là et se recoucha sur mon ventre, en continuant de me caresser et de me dire des paroles douces.
La personne de sa race qui n'était pas entré dans ma cage partie quelque minutes et revint avec une grosse couverture.Cette personne l'étendit sur Elle et moi. Comme elle ne bougea pas et qu'elle a encore cette grimace sur le visage, je n'ai rien à craindre.
Elle resta sur mon ventre et je put m'endormir en paix.
Lorsque je me réveilla, le soleil frappa fort. Il fait très chaud. Je ne sens presque plus ma blessure. En fait, je ne sens presque plus mon épaule toute entière. J'espère ne pas rester trop longtemps dans cet état là.
J'ai faim. Mais surtout, j'ai soif. Je n'ai pas pu boire depuis notre départ en balade hier.
Je me retourna tranquillement vers Elle. Elle a passé toute la nuit à mes côtés. Je lui souffla un peu d'air de mon nez dans le visage. Elle bougea. Un bras,une jambe,le visage et finalement Elle ouvrit les yeux et s'assit rapidement. Que se passe t-il ? Elle a senti quelque chose ? Un ours ? Je ne peut pas la défendre dans cet état là ! Pourquoi Elle a sursauter ?
Tranquillement, voyant qu'Elle m'avait fait peur, Elle me caressa le dos et le garot en se recouchant. J'adore quand Elle me gratte le garot ! Ça fait tellement du bien. Elle le sait, elle le fait souvant quand je ne me sens pas bien.
Je me trouve misérable.Je suis gros,imposant,fort,puissant et c'est une de sa race qui me calme et me rend confiant. Ces petites personnes qu'on appel ''humains''. Tellement étrange. On ne peut vivre avec, mais on ne peut pas vivre sans.
Chap 10.
Ouf ! J'avais oublier que j'étais là moi ! Quel nuit ! Un cheval peut parraître confortable, mais je vais être courbaturer c'est sur. Mon pauvre bébé, il n'a pas bouger.
-Alors mon beau, bien dormi ?
J'enleva la couverture de sur moi, la mit sur Averell, me leva et m'étira.
Je suis déjà courbaturer d'hier, ça va être quoi demain ?
Je m'agenouya devant sa jambe, lui toucha l'épaule avec délicatesse. Elle était moins enflé. La piqûre à fonctionner.
-C'est bien, tu vas aller mieux très vite.
Je me releva et sortie du box. Je m'en alla du champ de vision d'Averell et attendi quelque secondes. Il n'hennit pas. Il s'était calmé depuis hier. Dormir l'a aider,la cortisone peut-être aussi.J'alla cherché dans son pot, une poignée de moulé. Sans en échapper, je la donna a mon grand Averell, qui ne bougea pas de sa place dans son box. Aucun son ne sortie de sa geule. Il mangea avec hardeur.
Il a faim mon gros.
Je resortie du box, alla lui renplir un bol d'eau et alla lui porter. Il le but entièrement ! Je retourne donc remettre de l'eau et la lui donner. Après quelque gorgées, il arrêta, et me donna quelque coups de nez pour que je le flatte. Ce que je fis avec bonheur.
Ma mère déscendi les marches du salon des cavaliers. Elle avait dormi en haut. Elle a l'air fatigué et est écheveler.
-Je vais chercher un déjeuner au dépanneur pas loin. Je te fais confiance,pas de niaiserie, dit-elle,grave.
-Ok, byebye !
Elle partit.
Ma montre indique 8h53. Tout le monde n'allaient pas tarder à arriver.
Je donna du foin à Averell,puis m'assie à côté de lui. Je le caraisse et lui parle.
-Alors, qu'est-ce que je vais faire avec Justin ? Il te veux vraiment , ça se voit. Et Speedy, le pauvre, l'abattoir ! Ce n'est que les sans-coeur qui envoient des chevaux là. Je ne peux pas l'acheter. On en a pas les moyens financiers. Et si je te vend à lui. Il va avoir ce qu'il veut. Qui sait ce qu'il va te faire ? Si il va te donner toute l'attention que tu mérites ? Est-ce qu'il va t'envoyer à l'abattoir si tu fait une erreur ? Sl il t'achète, moi je vais pouvoir prendre Speedy, prendre soin de lui.
Il débarque à l'improviste et dit qu'il te veut. Non mais il est qui pour dire que ...
-Danielle ? dit une voix que je conais bien.
-Oui ? Entre dans le box,répondi-je.
Maude entra doucement.
-Salut ! laçais-je.
-Allo !
Elle s'assit contre le box, au même endroit que Justin.
-Danielle, je t'ai entendu parler et tu sais, la famille à Justin est très riche. Mon père les connait bien, ce sont les Tremblay. Ils sont propriétaire d'une écurie pas loin d'ici. C'est Camille qui me l'a dit. La famille de Justin va déménager dans bientôt, pour ouvrir une nouvelle écurie encore plus grande et plus luxueuse. Elle m'a aussi confier que Justin est un imbécile sans-coeur. Pourtant, il a l'aire gentil.
-Qui est Camille ?
-C'est l'une des filles qu'on a rencontrer hier. Il y a Camille la propriétaire de l'hongre isabelle et Léa, la propriétaire de la jument arabe, m'expliqua t-elle.
-Et l'autre gars avec son belge ?
-Dylan. Il est mignon hen ? Justin aussi, mais comme il a l'aire de te plaire...
-Plaisait ! Répliquais-je.
-Pourquoi ?
-Camille a raison, il est sans coeur.
-À bon ?
-Il veut envoyer son cheval à l'abattoir et acheter Speedy. Il m'a fait du chantage. Il le veut tellement qu'il dit qu'il va m'acheter un autre cheval, en bonne santé. Je ne sais pas quoi faire ! Si je lui vend Averell, je pourrai sauver Speedy,l'acheter et le garder. Justin pourra donner les meilleurs soins à Averell, mais qui dit qu'il l'enverra pas à l'abattoir si, finalement, il ne lui plaît pas ?
Je caresse encore Averell, je crois que même pour sauver un autre cheval, je ne serai jamais capable de m'en séparer. Je suis tourmenter ,au bord des larmes. Je veux ce qu'il y a de mieux pour lui. Et si ce qu'il y a de mieux c'est de le vendre à Justin ?
-Wow ! Quel idiot ! J'espère qu'il ne remettra plus jamais les pieds ici !
-Moi aussi.
Malheureusement,c'est sur que je vais le revoir. Je ne sais pas quand ni où, mais il faut que je lui donne ma décision.
J'accompagna Maude pour aller chercher Tit-Gui dans le paturage. Averell ne hennit pas une seule fois.
Entre temps, Amanda, mon entraineure,Pit, son copain, Amièle et d'autres cavaliers arrivèrent.
En une avant-midi, tout le monde connaissaient ma situation, ainsi que celle d'Averell. Moi, je ne savais toujours pas quoi faire.
Le midi, sous le chêne, moi, Maude, Amièle et Léane Dînons. Pour me changer les idées, nous discutions de souvenirs que nous avons de l'écurie.
Ça ne fait que 2 ans et demi que je monte, mais c'est assez pour avoir de très bons souvenirs ! Par exemple quand Maude est tomber de son cheval, dans la boue, près de la rivière. Ou quand Léane a remporter une compétition avec quelque centièmes de seconde d'équart avec moi et Averell. Je suis peut-être un peu jeune pour le dire, mais c'était le bon temps.
-Et la fois de notre randonnée de trois heures avec Pit, en camp de jour pour experts, vous vous souvenez ? C'était la plus belle balade de ma vie ! Dit Amièle avec extase.
-Moi je n'étais pas encore là, mais j'aurais bien aimé la faire cette randonnée, vous en parlez tellement souvent ..! Ajouta Léane.
-Oui c'est vrai ! J'avais Sunshine. C'était ma première randonnée de trois heures et j'avais une grosse peureuse. C'est un miracle que je sois encore en vie,dis-je.
-Tu l'as fait avec Sunshine ? Tu es courageuse ! Répondit Léane.
-J'étais pas mal oubligé, j'avais toujours des cours avec elle. Je me pratiquais. La randonnée était comme un cours. Heureusement que c'est elle que j'avais, ça a été à ce moment là mon coup de foudre !
-C'est vrai que tu l'aimais cette Sunshine. Même quans elle te faisait tomber. Dire que tu l'as fait sauter, dit Maude.
-J'avais oublier ça ! Je sais pas si tu étais là Léane, mais j'ai été la première à faire sauter Sunshine. J'étais tellement fière d'elle !
-Ça doit ! Répondit Léane.
Pit vint tout souriant vers nous.Nous, on ne parlait plus, on mangeait une bouchée de nos sandwish.
Il s'assit à l'ombre avec nous.
-Hey les filles, une ride cette après-midi ça vous tente tu ? Y a pas de client, annonça Pit.
-Ouais ! Dit Amièle.
-Bien sur ! Dit Léane
-Pourquoi pas ? Dit Maude
-Bof, répondis-je.
Tout les regards se tournèrent vers moi. Pit a l'air compatissant.
-Tu sais, on peut te prêter un cheval. Pourquoi pas Sunshine ? demanda t-il.
-Allez, viens avec nous, ça va te changer les idées ! Ajouta Amièle avec entraint.
-Bon, d'accord alors, répondis-je, toujours pas convaincu.
Sunshine, je l'aime beaucoup, c'est vrai, mais je préfèrerais faire une randonnée avec Averell plutôt qu'avec elle.Mais bon, ça pourrait être amusant. Ça fait longtemps que je n'ai pas monté Maman Sun. Ça va lui faire plaisir, elle m'aime tellement.
-Tu pourras prendre des photos, tu adore ça, rajouta Pit.
Il a raison, ça me ferait une bonne occasion !
-C'est vrai, justement, j'ai mon appareil ! Dis-je.
-Comme toujours ! Répondit-il.
Je lui fit une grimace et il repartit en me faisant plein de grimaces différentes.
-Épais ... murmurais-je pour jouer.
Au moins, il ne m'a pas entendu.
-Fait toi s'en pas pour Averell. Il va être debout dans bientôt, j'en suis sur ! Dit Amièle,entre deux bouchées de sandwish.
Léane a fini la sienne et fouille dans sa boîte à lunch, pendant que Maude attaque déjà sa barre tendre.
L'après-midi promet d'être mouvementé !
Pour digèrer, nous avons courru un peu partout autour de l'écurie, dans l'écurie, dans le manège extérieur et dans le patûrage, pour finir couché sous le chène, à côté de nos boîtes à lunch.
Nous avons pris des photos avec, bien sur, mon appareil, avec tout les chevaux: juments, hongres, poney, pouliche,poulains.
Nous avons finalement rentré Sunshine dans son box. Comme les chevaux de Maude, Amièle et Léane ( Tit-Gui, Thally et Lucky Mc Fly ) sont déja dans leur box pansés, prêt à sortir, elles m'ont aider brosser Sunshine. Ça faisait longtemps qu'elle n'avais pas été monté. Elle m'a l'aire énergique. J'espère que je ne tombera pas. Ou qu'on ne croisera pas Justin. Ça serait le comble. Ce qu'il pourrait dire puisque je monte Sunshine ...
Elle est prête en 5 minutes.Le poil propre et lisse,les sabots luisants, le regard joueur,ma selle Western propre,lavée la veille et une jolie bride de plusique teintes de brun, qui fait cowboy.
Sunshine est une haflinger très colleuse. Elle est particulièrement jolie pour sa race, malgré sa grosseur.Elle a une grosse crinière. C'est une pouliche éternelle cette jument. Elle apprend vite, mais quand elle est faché, elle le fait savoir à gros coups de cul !
Je l'aime beaucoup,elle est très joueuse. Par contre il faut savoir la contrôler quand elle est de mauvaise humeur, ce qui m'a vallu plusieurs plonges dans le sable
Les autres eurent le temps de seller,mettre leur bombe et brider.
-Alors, êtes vous prête ?
-Oui, dirent, en coeur, Maude, Léane et Amièle.
Je mis vite ma bombe et la gance de mon étuit à appareil photo autour de mon cou.
-Moi aussi ! Annonais-je.
On sortie toutes à la queue- leu- leu. Léane et Lucky, Amièle et Thally, Maude et Tit-Gui, Moi et Sunshine et Pit et Ferrari.
Thally est une très belle petite jument Quarter horse. Elle a une robe baie foncé, des bas noirs,la crinière noir et une liste blanche bien droite.
Tit- Gui est un ancien Standerbred de course. Il est très grand et noir avec une grosse étoile.Parfois il amble, d'autres fois il trotte. Il est très drôle quand, certaines journées, il lui passe des petites folleries. Maude réussie à bien tenir sur son dos, malgré qu'elle a déjà eu une comotion cérébrale en tombant.
Ferrari, quant à lui, est un beau grand Canadien noir à l'oeil vif. Quand on voit l'image de l'éléphant qui a peur d'une souris, c'est bien lui l'éléphant. Un rien ne l'effrait. Au moins, la beauté, il l'a. Il est superbe, très imposant.
Et Sunshine, elle, je l'ai déjà décrit.