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 l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu

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jumbo+freyja88
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MessageSujet: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeLun 14 Mar 2011 - 19:44

L'ardennais est décrit comme « l'un des meilleurs chevaux lourds du monde ». Son standard est défini par les sociétés de stud-book belges, français et luxembourgeois, chacun ayant le sien propre. Ces standards sont très proches les uns des autres et s'accordent pour définir le cheval idéal comme compact, trapu et près de terre, de type bréviligne, mais néanmoins distingué et harmonieux. En Belgique, le standard de la race a été défini en 1948 et révisé en 2004.

Les robes les plus courantes chez l'ardennais sont le bai et le rouan, souvent avec le bout du nez, le contour des yeux, l'intérieur des jambes et le ventre d'une teinte plus claire ou légèrement gris. L'alezan, le gris fer, l'aubère et l'isabelle sont éventuellement admis. Le bai brun très foncé serait toléré, mais toutes les autres robes sont exclues.

La taille minimum exigée par le standard français de la race est de 1,54 m pour les étalons et 1,52 m pour les juments, mais dans les années 1980, l'ardennais dépassait rarement 1,55 m au garrot et pesait 500 à 600 kg s'il n'était pas destiné à la boucherie. La taille moyenne varie de 1,60 à 1,65 m au début du XXIe siècle, soit 1,60 m pour les femelles et 1,62 m pour les mâles en moyenne. Le standard belge a des exigences de taille différentes du français et le cheval ne doit pas dépasser 1,62 m pour les étalons et 1,60 m pour les juments. Il n'existe pas d'exigences pour le poids, celui-ci pouvant varier considérablement selon que le cheval soit destiné à la boucherie (il est alors vendu au poids) ou à l'attelage et aux loisirs.

La tête est expressive, parfois un peu longue, au profil camus (concave) ou rectiligne, avec des orbites légèrement saillantes, un front déprimé ou plat, un œil gros et expressif, des oreilles de petite taille pointées en avant, des naseaux larges et bien ouverts.

L'encolure est moyennement longue mais bien greffée, généralement rouée (dite aussi en col de cygne) et avec une crinière bien fournie. La poitrine est profonde et ample, le poitrail profond, les épaules très robustes, le dos plutôt court, le corps moyennement gros. Ses membres courts lui donnent un aspect ramassé. Le rein est fortement musclé, la croupe généralement double, avec des hanches suffisamment larges, des fesses, des cuisses et des jambes très musclées.
Les membres doivent être secs et sains, avec des tendons détachés, des articulations basses et larges, de bons pieds, larges et à la corne saine, et des aplombs corrects. Les membres malsains et déficients sont à proscrire. Les fanons sont bien fournis.

Les chevaux ardennais sont habitués aux conditions climatiques rudes de leur moyenne montagne d'origine et apprécient de vivre au plein air toute l'année, un abri leur est suffisant pour se protéger des intempéries. S'il n'est pas mis au travail, un animal adulte réclame 60 ares de prairies l'été afin de se nourrir. S'il est laissé à l'écurie, l'ardennais mange environ 12 kg de foin par jour auquel il faut ajouter régulièrement les 10 à 15 kg de paille qui composent sa litière. S'il est mis au travail, il doit recevoir une nourriture complémentaire généralement composée de rations d'avoine et de granulés. Comme tout cheval, il réclame une vermifugation trois fois par an, les vaccinations obligatoires contre la grippe et le tétanos, et le soin de ses pieds, par parage s'il reste au pré et par ferrage, s'il travaille

L'ardennais est une très ancienne race rustique de cheval de trait à la robe généralement baie ou rouanne. Il est principalement et historiquement élevé dans la région des Ardennes qui lui a donné son nom, et par extension dans tout le quart nord-est de la France, mais aussi en Belgique et au Luxembourg. Connu et mentionné depuis l'Antiquité romaine où il servait à la remonte des armées, l'ardennais fut réputé jusqu'au début du XIXe siècle comme l'une des meilleurs races de chevaux de selle et de trait léger pour la traction du matériel d'artillerie militaire. Sous l'empire napoléonien, les ardennais sont ainsi réputés pour avoir survécu à la campagne de Russie, où 13 000 chevaux trouvèrent la mort. Le cheval ardennais est parfois associé à la monture légendaire des quatre fils Aymon, Bayard (ou Bayart), qui a selon la légende laissé les traces de son passage un peu partout dans la région ardennaise, et demeure toujours caché dans la forêt. L'écrivain régionaliste Franz Bartelt dit à ce propos que « D’une nature douce et d’une santé prospère, sobre de mouvement, plein d’assurance et de modération, courageux avec générosité, confiant, travailleur, le cheval ardennais fut d’une intelligence philosophique et d’une distraction littéraire qui l’ont hissé au-dessus du palefroi commun, jusqu’aux édifiantes de la légende et du mythe. La monture des 4 fils Aymon ne pouvait, en effet, être qu’ardennaise… »

Le cheval ardennais n'a pas toujours été tel que nous le connaissons aujourd'hui. En effet, avant la seconde moitié du XIXe siècle, il était réputé comme cheval de selle, et donc beaucoup plus fin et léger. De nombreux croisements et une sélection rigoureuse des éleveurs orientée vers les travaux agricoles dès le milieu du XIXe siècle en firent peu à peu le cheval de trait lourd et puissant que nous connaissons aujourd'hui. Destiné à la traction du matériel agricole, l'ardennais fut aussi un grand améliorateur de races durant l'âge d'or du cheval de trait, qui lui valut d'être exporté jusqu'en Suède où il donna naissance à une nouvelle race : l'ardennais suédois.

Avec la révolution industrielle et l'intensification de l'agriculture, l’économie se mit à dépendre du cheval de trait pour une foule de travaux (agriculture, transport, armée, mines…), et plusieurs millions de chevaux de travail furent employés à ces tâches, aussi bien en France qu'en Belgique. En plus de l'utilisation bien connue de l'ardennais dans les mines, l'armée et l'agriculture, ce cheval fut employé au halage des péniches le long de la Meuse jusqu'en 1950.
Marcel Mavré dit à ce propos que « La confusion est grande : on entend fréquemment dire que la mécanisation a tué le cheval de trait. C'est une erreur. Le cheval de trait contemporain, fort, solide, vif et docile à la fois, a été créé en fonction de la mécanisation. Les lourdes charges auxquelles il fut attelé ne pouvaient pas être tractées par le cheval de la première moitié du XIXe siècle, bien trop léger pour ce genre de besogne. Il fallait donc le forcir sans lui faire perdre son bel influx ».

Il fut utilisé dans l'industrie lourde pour déplacer de grandes charges, et dans les mines où l'utilisation des machines à vapeur et des moteurs à explosion était impossible car dangereuse en raison de la présence du grisou. Les établissements miniers appréciaient les chevaux ardennais de petite taille pour trainer le charbon dans les galeries souterraines où ils faisaient preuve d'adresse, de force et d'intelligence, malgré l'insalubrité des lieux. Ils étaient fréquemment maltraités mais on rapporte qu'ils vivaient très longtemps.
À la fin du XIXe siècle, l'ardennais fut croisé avec des percherons, des traits belges, des Pur Sang et des traits du Nord afin de le rendre plus léger et de l'adapter aux nouvelles exigences de l'agriculture et des travaux forestiers. Ces croisements se poursuivirent jusqu'à la Première Guerre mondiale et entraînèrent une augmentation de la taille de la race qui devint plus osseuse, plus étoffée, plus puissante, et donc plus susceptible de travailler les terres lourdes des grandes exploitations de l'Est de la France.
L'ardennais était alors souvent décrit comme un « laboureur-né » avec l'encolure dans l'alignement de son dos, voire plus basse, et un museau rasant le sol. Il était entièrement bâti pour la traction et cette conformation lui permettait de déplacer des poids énormes sur de courtes distances. L'utilisation de l'ardennais et par extension des chevaux de trait pour l'agriculture fut pourtant assez courte, car entre la fin des moissons à la faucille dans les années 1880 et la généralisation des moissonneuses-batteuses et des tracteurs dans les années 1960, il ne s'écoula que 80 ans. Cependant, ces chevaux de trait ont permis d'importants progrès en agriculture. L'importante capacité de récupération des ardennais leur valut d'être exportés plus au sud, pour effectuer le labour des terres épaisses. Grâce à sa rusticité, l'ardennais était très apprécié pour les travaux agricoles en moyenne montagne comme le débardage, le maraîchage et l'entretien des vignes.

À l'instar de toutes les autres races de chevaux de trait, la fin de la traction hippomobile et l'utilisation du tracteur entrainèrent le déclin de son élevage et une réduction drastique de ses effectifs.

Au début des années 1970, les effectifs de chevaux de trait avaient très fortement baissé dans la plupart des pays où ils étaient utilisés, comme la Belgique et la France.
À la même époque, Henry Blanc fut nommé à la direction des haras nationaux français et organisa la reconversion des neuf races de chevaux de trait en animaux de boucherie. Jusqu'en 1982, il freina les importations de viande et finança une recherche de l'INRA près de sur l'engraissement des poulains de trait. Il encouragea les éleveurs français, qui ne parvenaient plus à trouver d'acheteurs pour leurs animaux, à engraisser ceux-ci pour les revendre au poids aux abattoirs. C'est l'hippophagie qui assura, paradoxalement, une partie de la sauvegarde de l'ardennais français en gardant son capital génétique intact, mais aussi en transformant le modèle des animaux concernés, autrefois taillés pour le travail, en celui de « bêtes à viande ». Un arrêté du 24 août 1976, paru dans le journal officiel, renomma toutes les races de « chevaux de trait » françaises en « chevaux lourds » et poussa les éleveurs à sélectionner des étalons reproducteurs les plus lourds possibles. Les haras nationaux achetèrent et approuvèrent ce type d'étalon destiné être croisé à des juments lourdes et à donner naissance à des poulains qui s'engraissent rapidement. Ces derniers sont abattus vers l'âge de 18 mois pour produire de la viande. Entre le milieu du XXe siècle et les années 1980, le poids d'un cheval ardennais passa ainsi d'une moyenne de 600 à 800 kg à une moyenne de 700 à 1 000 kg, voire davantage.
Le marché de la viande de cheval ne suivit pas, et les éleveurs français furent dépassés par les importations de chevaux à bas prix venus du continent américain et des pays de l'est. Les effectifs de la plupart des races de chevaux de trait continuèrent ainsi à baisser jusqu'en 1994.

Cantonné au rôle presque unique d'animal de boucherie durant environ deux décennies, l'ardennais bénéficie au début du XXIe siècle d'un nouvel engouement dû au côté écologique de son utilisation pour l'entretien des espaces verts, le débardage en forêt et les loisirs en général, mais aussi à son habileté sur toutes sortes de terrains.

Quelques initiatives pour redonner à l'Ardennais une place de cheval de travail virent le jour dans les années 1980. Ainsi, le 22 août 1984, une compétition de trait-tract fut organisée à Reims entre des Percherons et les Ardennais. En 1985, dix-huit chevaux ardennais furent importés de Sedan vers le Chili pour le travail agricole et en 1988, Lucien Grüss choisit quatre poulains ardennais pour monter un spectacle de cirque.

En 1989, le cheval ardennais fut remis au travail dans les champs et un centre d’insémination artificielle dédié à la race fut ouvert à Pouru-Saint-Remy. Un an plus tard, un concours de race réunissant les éleveurs de dix départements était organisé à Vittel. Au début des années 1990, l'équitation de loisir connut un nouveau souffle tandis que la consommation de viande de cheval ne faisait que diminuer. L'effondrement du prix de la viande obligea les haras nationaux à réorienter toutes les activités liées au cheval de trait, et l'ardennais connut un nouvel engouement pour le tourisme rural. Une expérience de débardage avec des ardennais se mit en place à Bondy, en Île-de-France, en 1991 et l'intérêt que suscita l'ardennais en Europe aboutit à la mise en place d'une convention de sauvegarde signée par les Français et les Belges au haras de Montier-en-Der en 1992.

Le 11 mars 1994, le Journal officiel français publia un nouvel arrêté redonnant au « cheval lourd » son ancien nom de « cheval de trait » et en 1996, un autre arrêté interdit la caudectomie (coupe de la queue) chez tous les chevaux de trait nés en France. Les éleveurs français purent à nouveau s'orienter vers la production d'animaux sportifs destinés aux loisirs ou au travail, que les haras nationaux se mirent à acheter de nouveau. L'ardennais retrouva une certaine sveltesse dans sa silhouette et on vit apparaître de nouvelles manifestations destinées à sauvegarder le cheval de trait, telles que la route du Poisson et les parcours de maniabilité ou d'endurance.

Dans les Ardennes, une association pour la relance de l'attelage naquit en 1993, et diverses manifestations autour du « cheval du pays » furent organisées, à Signy-l'Abbaye en 1993, à Mouzon en 1995, au Haras de Montier-en-Der ou encore à Buzancy en 1997.
En France en 2009, il est ainsi devenu la quatrième race de cheval de trait la plus représentée en matière d'effectifs. Les éleveurs belges ont développé par croisements une nouvelle lignée destinée à l'attelage de compétition : l'Aratel.

Les chevaux ardennais possèdent le plus souvent un caractère très doux, et peuvent être menés sans problème par un enfant. Coopératifs et rustiques mais néanmoins énergiques, ils sont dociles. Ils doivent posséder des allures correctes, actives et assez détendues. Ces traits de caractère en font un cheval polyvalent, à l'aise avec beaucoup de disciplines, jusqu'au CSO, certains individus ont été capables de sauter plus d'1m20 mais on en croise plus sur du 80cm. On en voit en dressage haute école, sa souplesse, sa douceur, sa puissance et sa docilité en font un cheval de dressage très correct voire même très adapté...
L'ardennais est donc très polyvalent et très solide, un seul individu peut être attelé et monté sans problème (mis à part problème de santé déjà avéré)!
Jumbo mon ardennais, a déjà attelé, il dresse, saute et part en randonnée sans aucun soucis. mais comme c'est un modèle boucherie remis au travail après des années d'inaction, on dresse tranquillement, on saute maxi 70 80 cm et on balade beaucoup...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Haras_de_Montier-en-Der
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MessageSujet: Re: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeLun 14 Mar 2011 - 19:58

http://www.cheval-ardennais.fr/fr/actualites/concours-national-ardennais/rassemblement-vittel,3374.html

l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu Index.340

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MessageSujet: Re: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeJeu 17 Mar 2011 - 21:29

fête du cheval de trait
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MessageSujet: Re: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeMer 23 Mar 2011 - 18:04

le trait en général:

l'Etrier picotin

la voix du nord

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MessageSujet: Re: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeMer 23 Mar 2011 - 18:10

Parade des Etalons

SALON DU CHEVAL PARIS 2010

Cheval en fête à Mauquenchy


Dernière édition par jumbo+freyja88 le Mer 23 Mar 2011 - 18:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeMer 23 Mar 2011 - 18:16

Mylou d'If
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MessageSujet: Re: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeJeu 24 Mar 2011 - 18:21

Magnifique ces chevaux. Mais j'ai une petite préférence pour le comtois Very Happy
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MessageSujet: Re: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeJeu 24 Mar 2011 - 20:27

j'aime assez le comtois quoi qu'un peu...fin XD
je suis tombée amoureuse de l'ardennais à cause du monstre que tu vois en avatar lol
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MessageSujet: Re: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeSam 26 Mar 2011 - 7:41

Oui c'est sûr que ce n'est pas vraiment le même gabarit ces deux là ^^
Et bien " le monstre " est magnifique . Et je pense qu' à cru , il doit être bien confortable ;D
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MessageSujet: Re: l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu   l'Ardennais, un cheval polyvalent qui gagne à être connu I_icon_minitimeSam 26 Mar 2011 - 12:01

oh oui! un vrai fauteuil!

j'ai fait un post sur lui "jumbo mon gros gros gros loulou"
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